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Électricité coupée, rues inondées, toits arrachés… les habitants de Louisiane mesuraient lundi l’ampleur des dégâts causés par le passage de l’ouragan Ida, son gouverneur les qualifiant de «catastrophiques».
Première conséquence très tangible des rafales d’Ida: plus d’un million de foyers étaient toujours sans électricité à la mi-journée, selon le site spécialisé PowerOutage.US. La maire de La Nouvelle-Orléans LaToya Cantrell a prévenu que le numéro d’urgence 911 n’était toujours pas accessible.
Charriant des vents de 240 km/h, Ida a frappé directement les côtes de la Louisiane dimanche.
Appuyée par la garde nationale, l’agence américaine de gestion d’urgence a dépêché plus de 5200 personnes pour venir en aide aux sinistrés, a assuré le Pentagone.
L’assistance fédérale continuera «aussi longtemps qu’il le faut», a souligné le président Joe Biden lors d’une réunion avec des responsables de la FEMA ainsi que les gouverneurs et maires des communes affectées.
Dans la ville de LaPlace, à l’ouest de la Nouvelle-Orléans qu’Ida a frappée de plein fouet, des membres de la garde nationale se sont ainsi attelés à sauver des habitants prisonniers des eaux toute la journée, aidés par plusieurs hélicoptères, des camions et des bateaux.
«Nous étions une quinzaine dans un hôtel» le soir de l’ouragan, raconte à l’AFP Jonathan Guity, 30 ans, un bébé dans les bras, qui vient d’être secouru par un hélicoptère.
«Il y avait beaucoup de vent et quand on voulu sortir de l’hôtel le lendemain, il y avait trop d’eau», au moins deux mètres poursuit-il.
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Entre les larmes de Pandev et la joie extatique des Danois, les phases de groupes ont continué lundi de dévoiler les équipes qui joueront les phases éliminatoires. L’Autriche s’est offert sa première qualification en huitièmes.
Comme une deuxième résurrection. Après la survie miraculeuse de Christian Eriksen, les Danois se sont qualifiés lundi grâce à une victoire (4-1) contre la Russie, malgré un seul petit point glané avant cette rencontre. Cette équipe a autant séduit les supporters du stade de Copenhague que les téléspectateurs. Devant leur écran, ces derniers ont assisté à une furia et une énergie venues d’ailleurs, une frappe exceptionnelle, des rires et des hurlements qui semblent appartenir à une époque pré-Covid qu’on a désespéré de ne plus revoir. «Je n’avais jamais rêvé de faire partie de quelque chose d’aussi énorme, c’est un sentiment fantastique», a exulté après le match le Danois Mikkel Damsgaard, auteur d’une sublime frappe à l’entrée de la surface.
Les Danois du capitaine et héros d’un soir, Simon Kjaer, affronteront les Gallois de Gareth Bale, qualifiés dimanche. Leur victoire sur la Russie, complètement dépassée lundi comme elle l’avait déjà été face à la Belgique en début de tournoi, permet d’assurer à la France (4 points avant le match face au Portugal mercredi), une présence en phases finales : les quatre meilleurs troisièmes passent au tour suivant, et deux équipes (Finlande et Ukraine) sur les six groupes ne récoltent que trois points. Outre les Bleus, la Suisse, la Suède, et la République tchèque, toutes assurées d’être au moins meilleures troisièmes vu les résultats de lundi soir, ont aussi leur ticket pour les huitièmes de finale.
Avec sa victoire face à la Finlande, la Belgique, de son côté, a dû attendre le dernier quart d’heure pour se débarrasser de ses adversaires. Avec un Romelu Lukaku en forme, qui aurait mérité de valider un but en plus si l’attaquant de l’Inter n’avait pas eu le malheur de chausser aussi grand et de voir une VAR appliquer les règles de manière sévère voire insultante envers le football. «Maintenant, c’est tout ou rien», a promis le milieu des Diables rouges Kevin de Bruyne. Mais les Belges devront attendre quelques jours avant de savoir quel meilleur troisième de groupe ils affronteront.
«C’est un jour à faire la fête avec de l’eau !»
Avec l’Italie et la Belgique, les Pays-Bas terminent avec 9 points sur 9 possibles. Déjà convaincant lors des deux premiers matchs, Georginio Wijnaldum a inscrit un doublé contre la Macédoine du Nord. Un été agité pour le milieu de terrain : il aurait dû signer à Barcelone mais le PSG l’a chipé au dernier moment. Au contraire de l’autre buteur du soir, Memphis Depay, qui va, lui, traîner ses guêtres sur les Ramblas. L’équipe de Frenkie de Jong devra elle aussi attendre de savoir quel meilleur troisième elle affrontera. En revanche, la Macédoine du Nord n’a pas pu lutter face à des Néerlandais en mission depuis le début du tournoi. Mais l’essentiel était ailleurs pour eux : le fameux Goran Pandev, 37 ans et 121 sélections, a traversé une haie d’honneur lors de son remplacement, l’ancien de l’Inter jouant son dernier match en équipe nationale.
A Bucarest, l’Ukraine d’Andreï Chevtchenko a chuté (1-0) face à l’Autriche et devra attendre de savoir si elle peut terminer parmi les meilleurs troisièmes. L’équipe de David Alaba et de Marcel Sabitzer a quant à elle surpris en sortant favorablement des poules pour la première fois de son histoire. Elle retrouvera l’impressionnante Italie. «Nous avons écrit l’histoire pour l’Autriche, aujourd’hui est un jour à faire la fête, a déclaré Florian Grillitsch, milieu de l’Autriche et d’Hoffenheim. Beaucoup de mes coéquipiers sont très fatigués, nous serons heureux de rentrer à l’hôtel et de boire un verre ou deux. C’est un jour à faire la fête avec de l’eau !» Que Grillitsch se rassure : ce qui se passe à Bucarest reste à Bucarest.
Avec une abstention record estimée à 66,1 %, le premier tour des élections régionales a plutôt favorisé les sortants, selon les premiers résultats.
Les coups de tonnerre ne frappent pas toujours là où on les attend. Plutôt que le haut niveau du Rassemblement national (RN), largement commenté et anticipé, c’est le record d’abstention enregistré lors du premier tour des élections régionales et départementales, dimanche 20 juin, qui frappe les esprits. Avec seulement 33,9 % de participation, jamais un scrutin n’avait aussi peu mobilisé les électeurs, à l’exception du référendum instaurant le quinquennat, en 2000 (69,8 % d’abstention).
S’il est encore trop tôt pour tirer avec certitude les conclusions électorales de cette abstention massive, force est de constater que la droite profite de cette situation inédite : ses candidats sont donnés en tête du premier tour dans une grande partie des régions métropolitaines, selon les premières estimations d’Ipsos-Sopra Steria pour France Télévisions, Radio France et La Chaîne parlementaire.
Provence-Alpes-Côte d’Azur
En Provence-Alpes-Côte d’Azur,le président sortant (Les Républicains, LR) de la région, Renaud Muselier (31,91 %), qui a noué un accord avec la République en marche (LRM) et pris des candidats macronistes sur sa liste, est deuxième, juste derrière le candidat du Rassemblement national (RN), Thierry Mariani (36,38 %). Les sondages étaient favorables au candidat mariniste tout au long de la campagne, et le résultat signe une déconvenue pour l’extrême droite : en 2015, Marion Maréchal-Le Pen avait obtenu 40,5 % des suffrages au premier tour pour le compte du Front national.
M. Muselier paraît en bonne position pour conserver la région lors du second tour, dimanche 27 juin. Le représentant de la gauche et des écologistes, Jean-Laurent Félizia, a engrangé pour sa part 16,89 % des suffrages.
Hauts-de-France
Le risque RN semble encore plus mesuré dans les Hauts-de-France, où le président sortant (divers droite), Xavier Bertrand, est arrivé largement en tête avec 41,39 % des voix, loin devant le député RN du Nord Sébastien Chenu (24,37 %). La candidate d’union de la gauche, Karima Delli, arrive troisième (18,99 %), tandis que le secrétaire d’Etat chargé des retraites, Laurent Pietraszewski, ne parvient a priori pas à franchir la barre des 10 % nécessaire pour se qualifier au second tour (9,14 %). Un échec retentissant pour la majorité, alors que cinq ministres avaient été envoyés en renfort de la liste, dont le très médiatique garde des sceaux, Eric Dupond-Moretti.
L’enjeu dans les Hauts-de-France paraît crucial en vue de l’élection présidentielle de 2022, M. Bertrand ayant lié sa candidature pour l’Elysée à une réélection dans sa région. L’ancien maire de Saint-Quentin (Aisne) est vu par Emmanuel Macron comme un de ses principaux concurrents. Un statut qu’une victoire avantageuse aux régionales pourrait renforcer.
Ile-de-France
La présidente sortante d’Ile-de-France, Valérie Pécresse, tête de la liste d’union Libres-LR-UDI), arrive largement en tête au premier tour des élections régionales (35,94 %), selon les chiffres définitifs. Le candidat du Rassemblement national, Jordan Bardella, rassemble 13,12 % des voix, tandis que le candidat Europe Ecologie-Les Verts (EELV), Julien Bayou, totalise 12,95 %.
Derrière eux, trois autres listes dépassent 10 % : Laurent Saint-Martin (LRM-MoDem), Audrey Pulvar (PS) et Clémentine Autain (LFI-PCF).
Auvergne-Rhône-Alpes
Autre représentant de droite à entretenir des ambitions en vue de la prochaine présidentielle : Laurent Wauquiez. Le président sortant de la région Auvergne-Rhône-Alpes, qui arrive largement en tête avec 43,79 % des voix, se dirige vers une victoire tranquille au second tour. Il devance le candidat RN, Andréa Kotarac (12,33 %). Ce dernier enregistre une sévère déconvenue, puisqu’il était attendu à la deuxième place, qui revient finalement à l’écologiste Fabienne Grébert (14,45 %).
La gauche est en mesure de qualifier un autre candidat pour le second tour avec l’ancienne ministre PS Najat Vallaud-Belkacem, avec 11,40 %. En revanche, le macroniste Bruno Bonnell, avec 9,87 %, ne pourra pas se maintenir. Une confirmation, après les municipales de 2020, de l’échec d’implantation locale de La République en marche.
Occitanie
En Occitanie, le macroniste Vincent Terrail-Novès n’obtient pour sa part que 8,78 % des voix, loin derrière la présidente sortante (PS) Carole Delga (39,57 %) et le RN Jean-Paul Garraud (22,61 %). Le candidat LR, Aurélien Pradié, obtient, lui, un décevant 12,19 %.
Grand-Est
La configuration est à peine plus favorable à la majorité en Grand-Est, puisque la ministre Brigitte Klinkert est tout juste en position de se maintenir, avec 10,77 %. Elle est devancée par le président sortant (LR), Jean Rottner, 31,15 %, le RN Laurent Jacobelli, 21,12 %, et la candidate d’union de la gauche, Eliane Romani (14,60 %).
Centre-Val-de-Loire
Le ministre des relations avec le Parlement, Marc Fesneau, issu des rangs du MoDem, représente une maigre satisfaction pour la Macronie. Présenté comme un espoir de victoire en Centre-Val de Loire, il obtient 16,65 % dans cette région et termine seulement quatrième. Le président sortant (PS), François Bonneau, arrive en tête (24,81 %), devant le candidat RN Aleksandar Nikolic (22,24 %) et le LR Nicolas Forissier (18,82 %). Un candidat avec lequel M. Fesneau pourrait envisager de fusionner.
Nouvelle-Aquitaine
Autre représentante de la majorité issue du MoDem, la ministre déléguée Geneviève Darrieussecq obtient de son côté la troisième place en Nouvelle-Aquitaine, avec 13,71 %, derrière le président sortant (PS), Alain Rousset (28,84 %), en place aux manettes de la région depuis 1998. L’hypothèse d’une fusion avec le candidat LR, Nicolas Florian (12,46 %), peine à offrir des perspectives de victoire à la majorité. La candidate RN, Edwige Diaz, termine pour sa part en deuxième position avec 18,21 %.
Bretagne
Les macronistes peuvent envisager de siéger au sein d’un exécutif local en Bretagne, mais les négociations vont être serrées entre le président sortant de la région (PS), Loïg Chesnais-Girard (20,95 %), et son ancien vice-président, Thierry Burlot (15,53 %), arrivé en troisième position. M. Chesnais-Girard, héritier du ministre des affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, peut aussi envisager une fusion avec l’écologiste Claire Desmares-Poirrier (14,84 %). La LR Isabelle Le Callennec termine quant à elle deuxième avec 16,27 %.
Pays de la Loire
Dans les Pays de la Loire, la présidente sortante de région, Christelle Morançais (LR), arrive largement en tête avec 34,29 %, devant le député ex-LRM Matthieu Orphelin (18,70 %), un écologiste proche de Nicolas Hulot. Ce dernier pourrait nouer un accord avec le socialiste Guillaume Garot (16,31 %) en vue du second tour. Quant à l’ancien ministre de la transition écologique François de Rugy, il enregistre un score décevant avec seulement 11,97 %, derrière le RN Hervé Juvin (12,53 %).
Normandie
La majorité ne surnage pas plus en Normandie, où son candidat, Laurent Bonnaterre, arrive quatrième avec 11,07 % des voix. Le président sortant, Hervé Morin, paraît en bonne position en vue du second tour (36,86 %), la victoire semblant inaccessible pour le RN Nicolas Bay (19,86 %).
Bourgogne-Franche-Comté
Enfin, en Bourgogne-Franche-Comté, la présidente sortante, Marie-Guite Dufay (PS), pourrait avoir besoin des voix macronistes pour assurer sa victoire. Si elle est arrivée en tête, avec 26,52 %, l’écart ne paraît pas considérable avec le RN Julien Odoul (23,19 %) et le LR Gilles Platret (21,04 %). Les voix du macroniste Denis Thuriot, arrivé quatrième avec 11,69 %, pourraient peser lourd. Une situation de faiseur de roi finalement bien rare pour la majorité.
Corse
En Corse, où la participation a été de 57,08 %, largement au-dessus de la moyenne nationale, le nationaliste Gilles Simeoni (Fà Populu Inseme, « rassembler les gens »), président de l’exécutif sortant, est largement en tête de ce premier tour avec 29,19 %. Il est talonné par la liste du divers droite Laurent Marcangeli (Un Soffiu Novu, « un souffle nouveau pour la Corse ») à 24,86 %, et du nationaliste Jean-Christophe Angelini (Avanzemu pè un Populu Vivu, « Avançons pour un peuple vivant ») à 13,22 %. Enfin, le dissident indépendantiste Paul-Félix Benedetti (Core in fronte) totalise 8,39 %.
Ces quatre listes peuvent se maintenir pour le second tour sans fusionner, contrairement au président de l’assemblée sortante, Jean-Guy Talamoni (liste Fà Nazione, « faire une nation ») à 6,90 %, ou du macroniste Jean-Charles Orsucci (Corsica, terra di primura, « Corse terre de progrès ») à 5,92 %, qui doivent contracter une union s’ils veulent être présents dimanche prochain.
Le divers droite Didier Robert, président sortant de la région Réunion, a terminé en tête du premier tour des régionales avec 31,09 % des suffrages dimanche soir, dans un contexte de forte abstention (63,56 %).
Huguette Bello, la maire divers gauche de Saint-Paul (ouest de l’île) et Ericka Bareigts, la maire PS de Saint-Denis, se placent respectivement en deuxième et troisième positions avec 20,74 % et 18,48 %.
Guyane
Le président sortant de Guyane, Rodolphe Alexandre, est arrivé largement en tête du premier tour, avec 43,72 % des suffrages exprimés, sans obtenir la victoire qu’il espérait dès cette première échéance. Le candidat divers gauche, Gabriel Serville, recueille 27,67 % des suffrages.
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Une enquête a été ouverte pour «meurtre en bande organisée» et «tentative de meurtre en bande organisée».
Des tirs ont résonné dimanche 13 juin au sein du quartier Parmentier d’Ivry-sur-Seine, dans le Val-de-Marne, d’après une information du Parisien . Les coups de feu ont fait une victime, un jeune homme âgé de 21 ans, et un blessé, également âgé de 21 ans, qui a été transporté à l’hôpital, a confirmé à l’AFP une source policière ainsi que le parquet de Créteil.
Si le déroulé des événements reste encore très flou, il semblerait que les deux jeunes hommes aient été visés vers 19 heures, alors qu’ils se trouvaient à bord d’un véhicule, et que leurs agresseurs aient tiré depuis une voiture et un scooter, selon le quotidien.
Sur fond de rivalité entre quartier, cette attaque est intervenue quelques jours après qu’un jeune des environs a été roué de coups en pleine rue.
La procureure de la République de Créteil Laure Beccuau a saisi le service départemental de la police judiciaire (SDPJ) et une enquête a été ouverte pour «meurtre en bande organisée», ainsi que pour «tentative de meurtre en bande organisée». Des policiers ont été déployés dans le quartier afin d’éviter une éventuelle vengeance de la part des proches des victimes, précise Le Parisien.
Contactée dimanche soir par l’AFP, la procureure de Créteil, qui s’est rendue sur les lieux de l’homicide, n’a pas pu donner plus de précisions.
Le Conseil d’Etat a infligé jeudi un sévère désaveu à Gérald Darmanin en annulant plusieurs dispositions phares du schéma du maintien de l’ordre, dont la technique de la “nasse” et l’obligation faite aux journalistes de quitter les manifestations. La plus haute juridiction de l’autorité administrative avait été saisie par des associations et des syndicats, notamment de journalistes, vent debout contre ce texte publié le 16 septembre et porté par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin.
Dans un communiqué accompagnant sa décision, le Conseil d’Etat a rappelé que la technique de la “nasse” était prévue “pour contrôler, interpeller ou prévenir la poursuite de troubles à l’ordre public”. “Si cette technique peut s’avérer nécessaire dans certaines circonstances précises, elle est susceptible d’affecter significativement la liberté de manifester et de porter atteinte à la liberté d’aller et venir”, ajoutent les juges. Ils soulignent que le texte “ne précisait toutefois pas les cas où il serait recommandé de l’utiliser”. D’où sa décision de l’annuler. C’est “une immense avancée pour tous les manifestants”, a commenté auprès de l’AFP, Me Patrice Spinosi, avocat du SNJ et de la Ligue des droits de l’Homme (LDH).
S’agissant de la presse, le Conseil a considéré que les journalistes “n’ont pas à quitter les lieux lorsqu’un attroupement est dispersé” et qu’ils n’ont pas non plus “l’obligation d’obéir aux ordres de dispersion” des forces de l’ordre. “Les journalistes doivent pouvoir continuer d’exercer librement leur mission d’information, même lors de la dispersion d’un attroupement”, a ajouté le Conseil. “Ils ne peuvent donc être tenus de quitter les lieux, dès lors qu’ils se placent de telle sorte qu’ils ne puissent être confondus avec les manifestants ou faire obstacle à l’action des forces de l’ordre”.
Les membres du Conseil d’Etat ont estimé en outre que le “ministre de l’Intérieur ne peut pas imposer des conditions au port de protections par les journalistes”. Dans une circulaire sur le maintien de l’ordre, ont-ils ajouté, le ministre ne peut “pas édicter ce type de règles à l’attention des journalistes comme de toute personne participant ou assistant à une manifestation”. Le Conseil d’Etat a également rejeté l’accréditation des journalistes, qu’ils possèdent ou non une carte de presse, pour avoir accès au canal d’informations en temps réel mis en place lors de manifestations.
Un second revers en moins d’un mois
“C’est formidable pour la liberté d’information”, a réagi auprès de l’AFP Dominique Pradalié, secrétaire générale du Syndicat national des journalistes (SNJ). “Une fois de plus, le gouvernement se fait épingler pour non-respect des droits fondamentaux”, se sont réjouis la CGT et le SNJ-CGT. Tous se sont félicités que le Conseil d’Etat ait rappelé l’importance de la liberté d’informer.
Le ministère de l’Intérieur a promis en début de soirée que des “modifications seraient apportées” à son schéma du maintien de l’ordre pour “atteindre les objectifs du texte, tout en respectant les orientations de la décision du Conseil d’Etat”.
Cette décision constitue, en moins d’un mois, un second revers pour Gérald Darmanin après la censure, le 20 mai, par le Conseil constitutionnel de l’ex-article 24 de la loi sur la Sécurité globale. Devenu l’article 52 de cette loi, cette disposition prévoyait de punir “la provocation à l’identification des forces de l’ordre”, une nouvelle incrimination qui avait suscité une levée de boucliers des défenseurs des libertés publiques.
Le schéma national du maintien de l’ordre et la loi sécurité globale ont mobilisé l’automne dernier de nombreux détracteurs. Début mai, une commission, présidée par l’ancien président de la Commission nationale consultative des droits de l’Homme Jean-Marie Delarue et chargée d’apaiser les tensions entre médias et police, avait remis au Premier ministre Jean Castex son rapport assorti de 32 recommandations. Parmi celles-ci figuraient l’annulation des accréditations aux journalistes pour couvrir une manifestation et celle de l’obligation qui leur était faite de dispersion en fin de manifestation.
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